il aurait prononcé son fameux mot à waterloo
Ily aurait cependant beaucoup à dire sur le mot de « Cambronne », car si le personnage était d’exception, il renia toujours, de son vivant, le fameux mot de cinq lettres. Comme il désavoua également ces magnifiques paroles qui lui furent attribuées par erreur : « la Garde meurt et ne se rend pas ! » En fait, ces mots furent prononcés par le général Michel,
Ilaurait prononcé son fameux Mot à Waterloo: cambronne: Quelque chose d'ancien que l'on collectionne: antiquite: Hostilité envers quelqu'un: animosite: Marque de conserves de thon: saupiquet: Moyen, secours: ressource: Genre de Lolita, aguicheuse: nymphette: Suppression administrative: radiation: Qui a plusieurs tonalités: polytonal
Unautre saule provenant de Ste-Hélène, et attribué à Wellington, était celui qui ombrageait la fontaine de Neptune à Cheltenham, fontaine qui fait toujours la fierté de la ville et qui est la réplique de celle de Trévi à Rome. Wellington, ayant eu des propriétés à Cheltenham, aurait fait don d’une pousse de l’arbre à la ville.
IlAurait Prononcé Son Fameux Mot À Waterloo. Hostilité Envers Quelqu'un . CodyCross Sports Groupe 157. Toutes les réponses à CodyCross Sports. Définition Solution; Fait De Prendre Une Chose Pour Une Autre: CONFUSION: Mettre Des Récoltes À L'abri : ENGRANGER: Qui A Plusieurs Tonalités: POLYTONAL: Suppression Administrative:
Troisièmepartie de notre dossier consacré aux nombreuses bandes dessinées publiées pour ce bicentenaire de la Bataille de Waterloo. Au-delà du 18 juin 1815, intéressons-nous aux biographies de Napoléon : celle des Funcken, mais aussi la tétralogie de Torton & Davoz, ainsi que la nouvelle trilogie hébergée par la collection "Ils ont fait
Site De Rencontre Pour Personnes Handicapées Mentales. Ce qu’il y a d’intéressant avec les phrases historiques, c’est que, souvent, elles n’ont pas été prononcées par les personnes à qui on en a attribué la paternité. Prenez la soutière je sais, le mot "soutier" n’a pas de féminin, mais ça ira quand même du capitalisme américain qui siège au gouvernement français, Christine Lagarde. Elle a effectivement, lors de la flambée du prix des carburants, conseillé au bon peuple d’utiliser le vélo plutôt que la voiture. Mais la reine Marie-Antoinette, qui a tant fait fantasmer l’historien pétainiste André Castelot, n’a jamais dit "S’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche !Cette phrase malencontreuse traînait un peu partout depuis le XVIème siècle et exprimait les limites intellectuelles de certains aristocrates. Dans ses Confessions 1765, Jean-Jacques Rousseau se souvient "Je me rappelai le pis-aller d’une grande princesse à qui l’on disait que les paysans n’avaient pas de pain, et qui répondit Qu’ils mangent de la brioche".J’ai personnellement découvert, à ma grande surprise, en lisant le petit livre de Bernard Klein, que Monsieur de La Palisse n’avait jamais prononcé la moindre lapalissade. Après la bataille de Pavie, ses soldats chantèrent sa mort en composant le couplet suivant Monsieur d’La Palisse est mort,Mort devant Pavie Hélas, s’il n’était pas mortIl ferait encore envieDeux vers furent transformés de la manière suivante Un quart d’heure avant sa mort,Il était encore en besoin des mythes, le besoin de caractériser un événement, un personnage en les simpliant, en les caricaturant au besoin sont plus forts que la vérité historique. Un lecteur du Grand Soir rappelait récemment que Moïse n’avait pas existé. Ce qui a existé, en revanche, et ce dans nombre de croyances, animistes ou non, sous bien des horizons, c’est le mythe de l’enfant sauvé des eaux, puis qui sauve à son notre langue, notre histoire sont nourries de citations apocryphes, approximatives, tordues ou complètement fausses. Le bene trovatto est plus rassurant, mais aussi plus consensuel, que le ne saura jamais d’où vient l’expression "dans cent sept ans" allusion à la construction de Notre Dame de Paris, à la Guerre de Cent ans plus celle de Sept ans, ou tout bêtement à une liqueur à base de zeste de citron et de coriandre ?Galilée n’a jamais affirmé "Et pourtant, elle tourne". Il avait eu tellement de mal, il avait mis tellement de temps à s’approprier une théorie que Copernic n’avait fait publier qu’à soixante-dix ans, peu de temps avant de mourir, qu’il avait bien fallu "sauver l’honneur scientifique du grand savant" en lui permettant cette saillie proférée tout bas, avant de se retirer chez lui, en Toscane, aveugle et fort dommage, mais Louis XIV n’a jamais dit "L’Etat, c’est moi". S’il avait dû proclamer quelque chose du même tonneau, il aurait dit "La Nation, c’est moi", l’Etat n’étant qu’un outil de la souveraineté du Déat à bien écrit qu’il ne fallait pas "mourir pour Dantzig", ni pour les "Poldèves". Le peuple poldève avait été inventé en 1929 par un journaliste de L’Action française. Il inspirerait en 1936 Hergé pour son album Le Lotus bleu. Déat assimilait donc des Polonais à un peuple de bande "Guerre froide" fut popularisée par le journaliste et essayiste états-unien Walter Lippman en 1947. Lippman l’avait empruntée à l’homme d’affaires Bernard Baruch qui l’avait lui-même découverte certains diront que je le fait exprès chez George Orwell. Dans un article d’octobre 1945 pour le périodique socialiste Tribune, Orwell exposait que l’existence de la bombe atomique allait enferrer l’humanité dans un état "horriblement stable" de "guerre froide permanente".Que dire de l’expression "Le Grenelle de" l’environnement, la vente des pantoufles, l’étalonnage des stylos à bille, si ce n’est qu’elle répond fort bien à l’air du temps avec son "dialogue social", ses "partenaires sociaux" ? Il n’y eut pas d’accords de Grenelle en mai 1968, la base ayant refusé les propositions arrachés par les dirigeants syndicaux lors d’une réunion de trente-six heures présidée par aussi aux pauvres généraux français "limogés" en 1915 par le maréchal Foch, alors que la plupart d’entre eux se retrouvèrent à Brives, à Tulle ou à Périgueux ! Puisqu’on s’intéresse aux généraux, Cambronne n’a sûrement pas prononcé son fameux mot à la bataille de Waterloo. Il a, par ailleurs, de lui-même, infirmé l’assertion selon laquelle il se serait écrié "La garde meurt mais ne se rend pas" non seulement il n’était pas mort, mais en plus il s’était rendu...Qui savait que le fameux "rang d’oignon" venait du baron d’Oignon, chef du protocole du roi Henri II ?Quant à Christophe Colomb, non seulement il n’a pas découvert l’Amérique, mais il n’a même pas, selon Voltaire, réussi à faire tenir un oeuf debout oeuf précédemment attribué à l’architecte du Quattrocento Brunelleschi, rien à voir, donc "la plupart des bons mots sont des redites".Le très limité Mac-Mahon, massacreur de la Commune, prononça bien "Que d’eau, que d’eau !" devant Moissac inondé en 1875. On lui conserve tout de même notre sympathie pour cette auto-analyse "La fièvre typhoïde est une maladie terrible. Ou on en meurt, ou on en reste idiot. Et je sais de quoi je parle, je l’ai eue."On terminera sur Yalta, qui ne prépara pas le partage du monde. Cela avait été réalisé à la Conférence de Téhéran en 1943.
Qui a vaincu à Waterloo ?… C’est un mot ! Un mot qui fracture la poitrine, une insulte à la foudre ! Le plus beau mot qu’un français ait répété ! Dire ce mot et mourir ensuite, quoi de plus grand ? C’est foudroyer le tonnerre ! » Victor Hugo, Les Misérables, tome II, livre I, chapitre XV, 1862 Après avoir montré, vis-à-vis du septième art, une réticence prononcée, Sacha Guitry finit cependant par céder à ses charmes, et par se laisser totalement tenter, voire happer par celui-ci. En témoignent par exemple les propos suivants, parus le 5 avril 1935 dans L’Intransigeant » Je dois à la vérité de dire que je m’amuse comme un fou. … Je suis dans l’état d’un enfant à qui on vient de mettre dans les mains un merveilleux joujou. » Rapidement, il se montre aussi prolifique au cinéma qu’au théâtre et Le Mot de Cambronne, tourné aux studios Boulogne-Billancourt en une après-midi – le 19 novembre 1936 de midi à dix-neuf heures -, succède ainsi à six longs métrages tournés en moins de deux ans ! S’il devient cependant un cinéaste à part entière et révolutionne le langage cinématographique – notamment avec un film comme Le Roman d’un tricheur 1936 -, Sacha Guitry reste néanmoins tout autant un homme de lettres et de théâtre Le Mot de Cambronne, tourné entre deux représentations au théâtre de la Madeleine, en atteste de manière exemplaire. Comment, en effet, mieux souligner son amour de la langue et son statut d’auteur qu’en élisant le langage pour sujet même de son film ? Si, ici, certains changements d’échelle de plan se révèlent éloquents, le sens passe cependant avant tout par des mots – celui de Cambronne et d’autres. La plus belle part est ici clairement dévolue à la parole, dont le film illustre tout l’éventail de possibilités avec la parole, l’on peut choquer, séduire et dominer ; la parole est indéfectiblement liée à l’autorité, au pouvoir et à la sexualité. L’on peut, à ce propos, laisser parler l’auteur lui-même Rien ne peut se produire dans la réalité … avant que le langage les mots, la parole, le fait de dire ne soit au préalable passé par là. » Ce petit » film d’une trentaine de minutes qu’on pourrait avoir tendance à considérer comme mineur nous dit donc en fait bien long sur son auteur et l’œuvre de ce dernier. Sacha Guitry, un homme de lettres Ce statut d’homme de lettres et d’auteur est perceptible, déjà, à l’aune du générique. De manière significative, Serge Sandberg – producteur du film – présente », comme nous l’indique un carton de 0’34 à 0’39, une comédie en un acte et un vers ». Il n’est pas question, ici, de cinéma ; et l’on ne nous parle pas d’un film de Sacha Guitry ». A travers déjà donc la seule appellation comédie en un acte et un vers », le souvenir de la pièce signée et jouée la même année est d’emblée convoqué, la prééminence du texte écrit exhibée – et ce dès les trente premières secondes du générique de début. Rien que cette présentation montre qu’ici le cinéma s’inféode à l’écrit et au théâtre, et se trouve presque réduit, pourrait-on dire, à sa fonction utilitaire d’enregistreur – même si, comme le montre judicieusement Carole Desbarats dans l’article qu’elle consacre au film, les images parlent également, parfois, avec éclat et force, dans ce moyen métrage de trente-trois minutes. Desbarats cite notamment à ce propos les plans rapprochés qui isolent la servante coquine, filoute et presque muette interprétée par Jacqueline Delubac, alors l’épouse de Guitry, et qui suggèrent assez explicitement – en rehaussant la beauté et la juvénilité de la domestique, opposée à la vieille Mme Cambronne alias Marguerite Moréno et à la grossière préfète jouée par Pauline Carton – la relation adultérine entre Cambronne et sa bonne. A ce générique s’ajoute en outre un prologue qui, lui aussi, se révèle particulièrement éloquent pour illustrer ce statut d’ auteur » auquel, semble-t-il, Sacha Guitry souhaiterait qu’on l’associe en priorité. Notons tout d’abord qu’il se met en scène en train d’écrire. Le premier plan succédant au générique est un plan rapproché et métonymique sur sa main droite écrivant le titre du film – de manière à suggérer, de façon cocasse, le fameux mot » de Cambronne M…DE ». Pourquoi métonymique ? Parce qu’encore une fois Sacha Guitry se conçoit avant tout comme auteur et se présente ainsi très consciemment à son public. A 2’24 on le voit très clairement dans une posture d’écrivain délibérément fabriquée. Cela frise d’ailleurs presque la caricature plume, bureau, lunettes, tout l’ attirail » y est ! Durant tout ce prologue en fait – de 2’24 à 4’52 -, la littérature et l’écriture sont convoquées avec grand bruit. Cette petite comédie est ma centième comédie » déclare ainsi l’auteur, qui se place éloquemment sous l’égide de celui qui lui aurait soufflé l’argument de cette comédie en un acte et en vers », Edmond Rostand – donc pas un cinéaste, mais bien un homme de lettres et d’esprit ». Le maître de la comédie française classique est lui aussi cité, ici indirectement – par le biais du Misanthrope 1666, présenté comme modèle indépassable -, mais un peu plus tard explicitement, dans la bouche de la préfète interprétée par Pauline Carton Et s’il vous plaît d’être battue, comme disait Molière, au fond c’est votre droit. » Enfin ce prologue affiche une qualité de langage, une maîtrise impeccable du français – d’où résulte, par contraste avec la vulgarité du mot » dont il est question, une grande part de la drôlerie du film – que l’on retrouvera jusqu’à la fin usage du vers d’abord – annoncé à deux reprises successives avant le début proprement dit -, mais aussi d’un vocabulaire châtié et de temps rares et très littéraires », comme le subjonctif du plus-que-parfait ou le subjonctif imparfait O j’eusse cent fois préféré n’en faire qu’une et que ce fût le Misanthrope, tiens, pardi », ou ce petit acte, je l’ai fait, il était temps que je le fisse. » Tout un film sur un mot, ou tout ça pour ça » ? N’oublions pas de le souligner c’était tout de même une sacrée gageure que de consacrer tout un film à un simple » mot ! On peut, en effet, d’abord être sceptique ; le film tiendra-t-il sur ce sujet somme toute assez maigre – l’épouse de Cambronne voulant à tout prix connaître le mot que celui-ci aurait prononcé sur le champ de bataille à Waterloo, en se voyant contraint de se rendre ? Eh oui il se trouve qu’il arrive à broder, tout du long, autour de ce fameux mot ». Tout le suspense » – si l’on peut dire – du film consiste en fait à différer le plus possible l’apparition de ce mot dans le film, à force de périphrases et d’euphémismes linguistiques on trouve par exemple le mot mot » quarante-huit fois, Cambronne étant bien décidé à ne pas le révéler lui-même à son épouse… Par le grand mystère qui lui est octroyé et l’effet de suspense » qui lui est associé, le mot devient presque un personnage à part entière – le titre, d’ailleurs, en atteste. Il acquiert des proportions inouïes, dire devenant ainsi un enjeu de haute taille. Dans les dernières répliques entre Cambronne et son épouse, le mot devient d’ailleurs même un actant, par le biais d’une personnification marquante – Ouf ! Le voilà ! … – C’est lui ? – Mais oui, c’est lui, c’est ce mot triomphant. » Profitant de cette occasion – de faire un film dont le sujet même est le langage -, Sacha Guitry en profite de plus, en bon virtuose des mots qu’il est, pour les collectionner. Les jeux de langage en effet ici abondent, sollicitant sans cesse l’esprit. A titre d’exemple, à propos des toiles d’araignées, Mary Cambronne déclare à sa bonne si ça fait charmant dans les charmilles, ça fait sale dans les salons. » Lorsque la préfète arrive pour les gâteaux ramollis et les rafraîchissements bouillants, s’ensuit tout un jeu sur mots » et maux ». Ici, donc, des paronomases, puis là une antanaclase… Monsieur Sacha Guitry a consciencieusement révisé ses tropes. Le parti-pris semble en somme de prime abord assez anti-cinématographique pas d’action, pas de mouvement, et juste un flux de parole en continu. Le cinéma reste néanmoins bien présent. Carole Desbarats en parle bien, en évoquant les plans rapprochés dévolus à Jacqueline Delubac Tout les isole ; d’abord leur valeur, puisque le gros plan est rare chez Guitry ; ensuite la lumière qui les nimbe doucement et ménage une auréole d’ombre à cette belle femme alors que, justement, toutes les autres scènes sont crûment éclairées ; enfin la mutité du personnage représenté …. » La joliesse de Delubac mise en valeur par le gros plan, la lumière, l’effet de coupe, et, oui, s’il fallait une confirmation, la voilà on est bien au cinéma. Sources – Conférence de Sacha Guitry intitulée Pour le théâtre et contre le cinéma », septembre 1932 à mars 1933. – Cahiers du cinéma, L’homme qui aimait les mots », Charles Tesson, numéro 471, septembre 1993, p. 85. – Sacha Guitry, cinéaste, Philippe Arnaud dir., Editions du Festival international du Film de Locarno, 1993, 314 p., Le Mot de Cambronne », article de Carole Desbarats, pages 178 à 180.
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Par krka vendredi 2 décembre 2005 à 1054 32 à 60 sur 60 Publié le 3 déc. 2005 145412 J'ai encore entendu personne venir chier sur Alexandre le Grand... c'est parcequ'il est pas français?? parceque lui ne suscite que de l'admiration on dirait, alors que c'était un sacré malade... Leonidas300 ditoscillateur ditMmmmouaip... il faudrait quand même ne pas oublier que le nabot était un sanguinaire de première qui, non content de faire chier son monde à faire la guerre à tout le monde, avait quelques velléités discriminatoires plus que que ses adversaires étaient notoirement démocrates, n'ont pas du tout agressé la France révolutionnaire, et que la condition des noirs en Angleterre, Autriche, Prusse, Russie ... était absolument numéro un ça serait gentil de me montrer à quel endroit j'ai parlé de la "condition des noirs", parce que là je ne vois pas du tout, mon bon monsieur. Un petit atelier de lecture serait le bienvenu je ne vois pas en quoi le fait que les voisins ne soient pas parfaits donne le droit de leur foutre sur la gueule ditJe commence à en avoir marre de ces types qui haissent leur pays. Je ne suis pas nationaliste, loin, très loin de là. Mais ce défaitisme permanent, ce torrent de haine contre notre propre histoire, ça me donne envie de vomir. Il n'y a vraiment qu'en France qu'on voit ça. Eccoeurant. Remarque numéro deux là encore on a droit à un bel exemple d'analyse de texte niveau cm2... Où crois tu voir que je "hais mon pays" ? Tu vas te garder tes termes péjoratifs haine, vomir, etc. et tu seras bien gentil de ne pas les immiscer dans ce que j'ai écrit. Ce n'est pas parce que l'on désapprouve la majorité des actes d'un personnage historique que l'on est forcément un méchant qui déteste son pays, et tout le tintouin. Pour ta gouverne, je suis plutôt content d'être né en France, je suis conscient que cela m'a donné un certain nombre de privilèges économiques, sociaux, d'accés à la culture, etc. qui ne sont pas équitablement partagés dans le monde, mais jamais je n'en serai fier. Pour moi, on n'est fier que de ce dont on est responsable. Et je ne vais pas me mettre à défendre aveuglément quelqu'un sous prétexte qu'il était français. oscillateur ditRemarque numéro un ça serait gentil de me montrer à quel endroit j'ai parlé de la "condition des noirs", parce que là je ne vois pas du tout, mon bon monsieur. Un petit atelier de lecture serait le bienvenu visiblement.==>oscillateur ditle nabot ... avait quelques velléités discriminatoires plus que discutables.==> tu voulais parler de qui ? des berrichons ?oscillateur ditRemarque numéro deux là encore on a droit à un bel exemple d'analyse de texte niveau cm2... Où crois tu voir que je "hais mon pays" ? Tu vas te garder tes termes péjoratifs haine, vomir, etc. et tu seras bien gentil de ne pas les immiscer dans ce que j'ai tu t'es senti visé ? je me demande bien pourquoi !oscillateur dit Et je ne vais pas me mettre à défendre aveuglément quelqu'un sous prétexte qu'il était français. tu ne defends pas aveuglement et personne ne te le demande, d'ailleurs, tu es très selectif dans tes citations et très court dans tes conclusions, tu insultes le "Nabot", c'est niveau doctorat comme analyse sans doute. Avec ton raisonnement, je me demande bien qui trouve grace à tes yeux. Chaque personnage historique a son côté noir. L'oublier est tout aussi con que ne voir que ça. Et toi, tu ne vois que ça. A bon entendeur ... JerPublié le 3 déc. 2005 163543 Un remarque au passage la biographie de Marx par Attali que j'ai lu, des fois que a reçu une volée de bois vert dans La Quinzaine Littéraire n°904. Le dernier chapitre s'avère bourré d'inexactitudes. A prendre donc avec des pincettes. Pour revenir à Napoléon. Son bilan est loin d'être tout blanc ou tout noir. Crier "Vive l'empereur", ça implique pour moi qu'on accepte et qu'on soutient tout ce qu'il a fait. On ne supporte pas quelqu'un pour la moitié de ce qu'il est. A moins d'être de mauvaise foi. Napoléon a énormément changé la France et l'Europe. Je ne connais pas assez l'histoire de son règne pour trancher, mais je trouve assez déplacé qu'on soit fanatique d'un type qui a saigné l'Europe. D'un point de vue militaire, il était brillant, mais est ce vraiment un progrès que de révolutionner l'art de la guerre ? Ceux qui sont vraiment fans de Napoléon, c'est les Anglais. Comme ils l'ont battu, ça les valorise d'avoir eu un adversaire si coriace. D'autre part, ça me fatigue de lire à tout bout de champ des comparaisons avec les nazis, Hitler et l'extermination des juifs. Faut arrêter de tout mélanger et de vouloir tout mettre sur le même plan que la Shoah. Cela étant dit, si vous avez envie d'avoir pour héros et modèle un empereur belliqueux, libre à vous. Moi je préfère Jaurès. Jer ditSon bilan est loin d'être tout blanc ou tout noir. Crier "Vive l'empereur", ça implique pour moi qu'on accepte et qu'on soutient tout ce qu'il a fait. On ne supporte pas quelqu'un pour la moitié de ce qu'il est. A moins d'être de mauvaise a énormément changé la France et l'Europe. Je ne connais pas assez l'histoire de son règne pour trancher, mais je trouve assez déplacé qu'on soit fanatique d'un type qui a saigné l' point de vue militaire, il était brillant, mais est ce vraiment un progrès que de révolutionner l'art de la guerre ?Ceux qui sont vraiment fans de Napoléon, c'est les Anglais. Comme ils l'ont battu, ça les valorise d'avoir eu un adversaire si part, ça me fatigue de lire à tout bout de champ des comparaisons avec les nazis, Hitler et l'extermination des juifs. Faut arrêter de tout mélanger et de vouloir tout mettre sur le même plan que la étant dit, si vous avez envie d'avoir pour héros et modèle un empereur belliqueux, libre à vous. Moi je préfère Jaurès. +1 krkaPublié le 5 déc. 2005 093855 Parmis les premiers jeux de stratégies auquels j'ai joué, il y avait "Aboukir", et "La campagne de Russie", deux jeux en enacrts paru dans jeux et stratégies. Il me semble qu'ils étaient tous deux de Jean Pierre Petit. C'est grace à çà que je suis aujourd'hui sur tric trac LoranPublié le 5 déc. 2005 214256 Je crois finalement Krka que l'on a plusieurs points communs Aboukir etait aussi pour moi un de mes tout premier jeu, peut-etre un de ceux qui m'ont fait tomber dans la marmite à potion ludique quand j'etais petit. Je ne me souviens plus si c'etait l'été 83 ou 84 mais pour moi c'était partie sur partie, et je me decouvrais une nouvelle passion. Recemment cet été en rangeant mes piles de wargames je suis tombé par hasard sur un sachet caché contenant quelques pions vaisseaux du jeu que je croyais perdu depuis longtemps........ Ah l'Orient...le Timoleon...sur le coup j'ai failli essuyer une ptite larme de bonheur nostalgique. krkaPublié le 6 déc. 2005 094217 Et il y avait aussi le siege d'aliciane Super jeux également, et delire à la cantine Que je suis vieux. JackPublié le 6 déc. 2005 103001 Effectivement, on a tendance à mélanger beaucoup de choses. Alexandre le Grand, Napoléon, Hitler ont été des méga-stratèges. Le premier, on s'en fout s'il a exterminé du monde c'est vieux, c'est loin; le deuxième, ça nous gêne un peu parce qu'il l'a fait pour la grandeur de la France demandez à un allemand quelle image il a de Napoléon, c'est édifiant; le troisième, on est encore sous le choc. Féliciter Napoléon parce que c'était un méga-stratège est possible, mais ça devrait donner le droit de féliciter Hitler pour ces conquêtes encore plus impressionnantes et ça, ça passerait pas du tout, alors que techniquement parlant, c'est indéniable et remarquable. Personnellement, je pense que fêter Napoléon n'est pas raisonnable, c'est un très mauvais exemple à donner aux générations futures. krkaPublié le 6 déc. 2005 105657 Je suis d'origine Dalmate, et en Dalmatie Napoleon est tres populaire. Ce sont les francais, et le maréchal Marmont notament, qui ont crée les premières écoles en langue Dalmate. Il y a eu un véritable accès à l'éducation et à la liberté pour de nombreuses populations. JackPublié le 6 déc. 2005 112724 Bien sûr, Napoléon a aussi un actif dans son bilan, mais on peut trouver aussi un actif chez Hitler ou Mao. Le problème, c'est que célébrer Napoléon, c'est faire abstraction de son passif. On peut aussi pousser la métaphore comptable jusqu'à estimer le résultat du bilan s'il est positif, peu importe le passif ! krkaPublié le 2 déc. 2012 124631 Tiens on est le 2 décembre. J'aime ressortir les vieux postes C'est le retour des cendres. krkaPublié le 19 juin 2015 182014 J'ai manqué de temps hier, mais les belles histoires ont une fin. EmlynPublié le 20 juin 2015 085413 J'ai assisté à la reconstitution de la bataille hier soir à Waterloo. Compte tenu de la taille du champ de bataille on ne voyait pas toujours très distinctement l'action tant en raison de la distance que de la fumée mais d'une manière générale c'était assez intéressant de voir un aussi grand nombre de reconstituteurs à l' on lit des récit de batailles anciennes faisant état de plusieurs dizaines de milliers de combattants de part et d'autre c'est toujours un peu abstrait. Dans le cas présent on a pu voir une troupe d'un peu plus de personnes ce qui est relativement peu manoeuvrer en formation, charger, tirer par salves, etc. ce qui permet de se faire une meilleure idée de ce que devait représenter les batailles de l'époque. MERDE !On ne pouvait quand même pas oublier le mal embouché de la grande armée. Emlyn ditJ'ai assisté à la reconstitution de la bataille hier soir à Waterloo. Compte tenu de la taille du champ de bataille on ne voyait pas toujours très distinctement l'action tant en raison de la distance que de la fumée mais d'une manière générale c'était assez intéressant de voir un aussi grand nombre de reconstituteurs à l' on lit des récit de batailles anciennes faisant état de plusieurs dizaines de milliers de combattants de part et d'autre c'est toujours un peu abstrait. Dans le cas présent on a pu voir une troupe d'un peu plus de personnes ce qui est relativement peu manoeuvrer en formation, charger, tirer par salves, etc. ce qui permet de se faire une meilleure idée de ce que devait représenter les batailles de l' disait un commentateur hier à la télé..."Ce n'est pas ça la guerre. Il manque les milliers de morts, les hurlements des blessés, les chevaux éventrés."Les représentations "belles et héroiques" de la guerre, ça me fait toujours un peu une jolie chanson... N'empêche que j'ai toujours eu une préférence pour la période napoléonienne quand j'étais wargamer. Peut-être que le fait que ce soit notre histoire nationale a joué inconsciemment, mais il me semble plutôt que c'est pour l'admirable classicisme des règles et des tactiques, les combinaisons des 3 armes, l'influence des généraux, tout ça. Après, avec les trains et les avions, les troupes bougent trop vite à mon gout... Enpassant ditMERDE !On ne pouvait quand même pas oublier le mal embouché de la grande armée. "Je n'ai jamais pu dire "Merde la Garde meurt mais ne se rend pas" puisque je me suis rendu et que je ne suis pas mort." paraitrait par contre que le "merde" aurait réellement été prononcé, mais par un sous pour revenir au débat, je pense que Napoléon fascine, il n'est pas tout blanc ni tout noir, mais il fait parti des grands Hommes dans la lignée des Alexandre, Caesar,....Il a clairement du sang sur les mains, tout ça pour assouvir une ambition sans limite. Mais il a été un grand précurseur du modernisme et qui perdure actuellement Code Civil en tête.A mon sens, Napoléon est ce qui résume le plus la France en une personne- il a défendu la République en danger, mettant son génie et son courage au service de la nation quand elle en avait le plus il a coulé la République, le peuple applaudissant en grande partie des deux mains nous avons toujours un complexe par rapport à la monarchie. On a beau avoir coupé la tête de notre roi, les dirigeants français se sont toujours conduits en privilégiés, il n'y a pas si longtemps que les chasses à cour présidentielles n'existent plus, l'affaire de l'avion Valls, les abus divers de nos dirigeants...- il a été un vecteur d'idées nouvelles Code Civil, diverses écoles...- il a été ultra conservateur esclavage- c'est un génie militaire doublé d'un meneur d'hommes extraordinaire mais aussi un boucher!- il a aussi son petit côté looser cher à la résume à mon sens 2000 ans d'histoire de France avec toutes ses contradictions et ses hauts et ses bas. Je ne trouve pas qu'il y ait de mal à s’intéresser à son histoire, ni de dire que c'est un grand Homme Mandela était aussi un grand Homme, pourtant il a aussi sa part d'ombres et d'histoires pas angéliques, il les a d'ailleurs ouvertes au monde entier au cours du pardon national. C'est aussi la dernière époque prémoderne avec ses batailles épiques, avec ses charges de cavalerie glorieuses, ses derniers carrés, ses règles, ses formations, ses héros, ses histoires tragiques... Jamais un homme n'a autant inspiré les romanciers, cinéastes, peintres... my2cents cossack39 ditEnpassant ditMERDE !On ne pouvait quand même pas oublier le mal embouché de la grande armée. "Je n'ai jamais pu dire "Merde la Garde meurt mais ne se rend pas" puisque je me suis rendu et que je ne suis pas mort." paraitrait par contre que le "merde" aurait réellement été prononcé, mais par un sous un très vieux bouquin que j'ai lu et qui comporte des témoignage d'époque, la phrase "La garde meurt mais ne se rend pas" a été prononcée par le général Michel tué lors de la "Merde" a été crié par Cambronne qui s'était avancé vers les anglais, ce qui a été confirmé par deux de leurs à la phrase que tu cites, Cambronne la disait souvent quand on lui posait la question sur son fameux devait le gêner d'avouer étant donné qu'il avait épousé une anglaise. krkaPublié le 5 mai 2021 100943 J'ai posté il y a 15 ans, 5 mois et 3 jours. C'est l'intervalle entre un sommet et l'abime. Je ne connaissais pas Henri Guillemin à l’époque, certains de mes posts auraient peu-être été plus modéré. Mais bon, pour aujourd’hui, je vais encore crier mon Vive l’Empereur ». Un salut amical à tous, et particulièrement ceux qui étaient là il y a 15 ans. krkaPublié le 5 mai 2021 102158 - Mis à jour le 5 mai 2021 102222 Jer dit Cela étant dit, si vous avez envie d'avoir pour héros et modèle un empereur belliqueux, libre à vous. Moi je préfère Jaurès. Je viens de voir sur le site de l'Ina, Emile Zola ou la conscience humaine. L'acteur qui joue Jaurès est juste bluffant William Sabatier. Quant à l'acteur qui joue Zola, c'est une voix que ma génération connait parfaitement Jean Topart Quand à la voix de l'avocat de Zola, le premier qui trouve à qui elle fait penser, je lui offre un café quand je le croiserai. Il vous suffira de dire j'étais sur Tric Trac il y a 15 ans, 5 mois et 3 jours , pour qu'on réponde voilà un brave ! La vache... je viens de me prendre un de ces coups de vieux... Je me demande bien quelle était la chanson que j'ai posté il y a 6 ans... krkaPublié le 7 mai 2021 223032 Voilà un brave enpassantPublié le 8 mai 2021 091249 - Mis à jour le 8 mai 2021 091327 jmguiche dit Je me demande bien quelle était la chanson que j'ai posté il y a 6 ans... C'était celle-là. krkaPublié le 14 mai 2021 222205 Alboise de Pontoise, Seine et Oise
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