vivre aux etats unis reve ou cauchemar

Dixans plus tard, la zone euro compte 16 Etats membres, le dernier état entré étant Slovaquie le 1er janvier 2009. Editer l'article Suivre ce blog Administration Connexion + Créer mon blog. France vs Israël . Recherche. Recherche . La curée Des cataplasmes sur des jambes >> 26 mai 2010 3 26 / 05 / mai / 2010 05:11. Un rêve devenu cauchemar ou la Refluxdu racisme ordinaire aux Etats-Unis ou simple résurgence d'un mal, profondément ancré? Plus de six décennies se sont écoulées, après la longue marche du révérend Martin Luther King pour l'égalité raciale et le droit des Noirs américains à la citoyenneté. Des lois ont changé, mais pas les mentalités. Dans cette Amérique aux cinquante étoiles, il y a toujours Laboîte à média : "Vivre aux Etats-Unis : rêve ou cauchemar ?" : 2e degré : thème n° 1 / Philippe Delfosse. Public; ISBD; Titre : La boîte à média : "Vivre aux Etats-Unis : rêve ou cauchemar ?" : 2e degré : thème n° 1 : Type de document : texte imprimé: Auteurs : Philippe Delfosse, Responsable de l'équipe de recherche ; M. Barbé, Collaborateur ; Pierre Gridelet, Collaborateur nationalde Yellowstone, aux États-Unis. Or ce parc immense – quasiment la surface de deux départements – qui nourrit beaucoup de bisons et de cerfs, mais aussi divers prédateurs, a été vidé des Amérindiens, puis de toute activité agricole. De ÉtatsUnis Coronavirus Témoignage. “A New York, mon rêve américain est devenu un cauchemar” Bloquée depuis six mois à New York à cause des restrictions de voyage dues à la crise sanitaire, cette expatriée britannique estime que Big Apple n’a décidément plus rien d’accueillant. The Daily Telegraph Site De Rencontre Pour Personnes Handicapées Mentales. Les réactions à mon début de carnet de voyage dans le Grand Ouest américain » ont suscité des réactions d’adversité et de rejet des Etats-Unis qui me laissent perplexe… C’est un sentiment largement partagé, dans le milieu bobo parisien qui est le mien. Chaque élection présidentielle aux Etats-Unis apporte son lot de commentaires désobligeants, avec la sempiternelle sentence définitive les américains sont des gros cons ». Et tout y passe, dès le 17e siècle l’activité exterminatrices des colons avec les populations locales, les indiens en l’occurrence. La violence, bien sûr, la floraison d’armes à feux, la constitution des Etats-Unis qui autorise ces armes à feux. C’est le deuxième amendement qui garantit à tous citoyens américains de porter des armes Bill of Rights. La violence sociale à l’égard des minorités. Les anciens vétéran de la guerre du Vietnam abandonné sur le macadam, l’esclavage pas si vieux que cela, la crise qui engendre aussitôt le déclassement social. Mais il y a aussi le libéralisme économique qui tue, la référence aux fameux Chicago’s Boys de Milton Friedman, la contamination de ces idées perverses en Europe. Le travail de sape pour ruiner la protection sociale et les acquis du Front Populaire en France. Les Etats-Unis ignorerait la protection sociale que ce soit les retraites où la santé, mais aussi le coût exorbitant de l’éducation. Les salariés ne connaissent ni les congés payés très réduits en fait ni un code du travail qui les protégerait des patrons. Embauché du jour au lendemain, certes, mais virés aussi le soir même. Bref cela tonne, cet impitoyable exercice de procureur, se fait sans que la parole soit donnée à la défense. Mais les français sont-ils les mieux placés pour instruire un tel procès ? Que ce soit dans le passé ou dans le présent il y aurait beaucoup à dire et à raconter. Il n’y a pas de quoi être fier de la société française d’aujourd’hui et je ne vois pas en quoi nous serions la lumière capable d’éclairer le monde. La démocratie française est très récente, nous n’avons donné le droit de vote aux femmes qu’à la Libération alors que les américains le faisaient en 1920. C’est le président Wilson qui fit ce pas de géant. Certes les luttes actives d’Alice Paul et Lucy Burns, ainsi que le National Women Party avaient fait le nécessaire voir le magnifique film Iron Jawed Angels. Il faudra attendre l’ordonnance du 21 avril 1944 pour qu’en France les femmes et les militaires votent pour la première fois aux élections municipales le 20 avril 1945. Quel beau pays ! La proclamation de l’Indépendance et de la république, a lieu le 4 juillet 1776, bien avant 1789. Si les pères fondateurs se sont inspirés du siècle des lumières en Europe, ils ont aussi puisé dans les racines de la Glorieuse révolution de 1688 en Angleterre. Nous mettons volontiers en avant nos propres penseurs Montesquieu, Voltaire, Diderot, Rousseau, mais c’est vite oublié de que des Benjamin Franklin, Thomas Jefferson, Thomas Paine, Samuel Adams, Robert Livingston mais aussi John Locke en Angleterre ont eux aussi largement contribué à édifier la notion de République, d’Etat de droit, et de Libertés individuelles… C’est seulement seize ans plus tard le 21 septembre 1792 que les députés de la Convention, proclament l’abolition de la Monarchie en France. Ils ne proclameront jamais directement la république mais dès le lendemain ils décident de dater tous les actes de l’An 1 de la république. Quant à revenir sur ces gros cons d’américains » … on peut noter plus subtilement que la critique vise à pointer la culture américaine comme une sous-culture, héritière d’une grand culture européenne principalement britannique, allemande et française…. Il est vrai que le nouveau monde » ne date que de seulement deux siècles… est-ce pour autant qu’il ne faut la voir que comme un sous-produit hégémonique imposés de force au monde entier avec comme seul symbole la bannière étoilée, la tarte aux pommes et la batte de baseball ? Mais vraiment est-il nécessaire de rappeler, ne serait-ce que fugitivement, que les Etats-Unis d’Amérique loin de seulement copier ont eu de grands créateurs dans toutes les disciplines et qu’en 200 ans ils ont largement rattrapé leur retard en produisant La littérature. Erskine Caldwell publie Le petit Arpent du bon Dieu en 1933, John Steinbeck Les Raisins de la colère, publié en 1939, reçoit le Prix Pulitzer en 1940. Malgré la période noire du maccarthisme, Arthur Miller écrit et fait jouer Les sorcières de Salem. On peut citer, mais il y en a tant …Ernest Hemingway, James Fenimore Cooper, Edgar Allen Poe, Margaret Fuller, Mark Twain, Edgar Rice Burroughs, Jack London , Ezra Pound, Howard Philips Lovecraft, F. Scott Fitzgerald, John Dos Passos, William Faulkner, Anaïs Nin, Eugene O’Neill, Paul Bowles, Tennessee Williams, Isaac Asimov, Ray Bradbury, Sam Shepard, Paul Auster, etc… Le cinéma. John Ford adapte au cinéma les raisins de la colère et en fait un chef d’œuvre de l’histoire du cinéma. Richard Llewellyn, lui réalise Qu'elle était verte ma vallée, autre grande référence cinématographique qui retrace la vie des mineurs du Pays de Galles. L’immense Charlie Chaplin avec Le Dictateur en 1940 et Les Temps modernes en 1936, entre autre. Franck Capra, bien sûr avec Vous ne l'emporterez pas avec vous 1938, Mr. Smith au Sénat 1939. La musique avec George Gershwin, mais c’est aussi l’invention du jazz, du Ragtime, du Rapp, du Négro Spiritual et du Gospel, la musique Country, le Blues, la Soul et le Funk, le Rock en Roll et la Pop Music L’architecture avec immense Frank lloyd Wright, et Richard Buckminster Fuller, James Wines, Frank Gehry, I. M. Pei, Pietro Belluschi… Mais il faudrait aussi traiter les peintres, les sculpteurs, les photographes etc… Enfin je ne peux que conseiller la lecture de l’excellent ouvrage de Frédéric Martel De la Culture en Amérique qui fait plus que relativiser l’appréciation peu flatteuse des français à l’égard des américains. Le livre est une bombe dans les milieux intellectuels en France, la preuve par quatre est faite que les américains ont développé un mode d’organisation culturel tout aussi efficace, si ce n’est plus que notre système étatique et interventionniste. Quelques chiffres comme repère Nombre d'artistes 2002 2 millions, soit plus qu'en Europe ce chiffre comprend les acteurs, les musiciens et les écrivains Nombre de bibliothèques 120 000 soit un des plus hauts taux au monde par habitant Nombre de musées 17 500 dont 1 000 musées d'art Nombre de compagnies de danse professionnelles 250 Nombre d'orchestres symphoniques 1 800 dont orchestres permanents 900, dont orchestres professionnels 350 Nombre de compagnies d'opéra 96 Nombre de théâtres professionnels à but non lucratif 1 270 Nombre de théâtres communautaires Noirs, Hispaniques, Gays... 7 000 Scolarisation 2e degré pour 100 en 2003 85,3 Scolarisation 3e degré pour 100 en 2003 81,4 Pourcentage d'une classe d'âge entrant à l'université 81 % contre, 54 % environ en France sans compter les CPGE, les IUT/BTS et autres formations non universitaires [Chiffre Unesco, 2001-2002] Nombre de téléviseurs pour mille habitants en 2003 938 Livres publiés titres en 2006 150 000 dont seulement 1 500 environ en traduction soit près de 1 % Pratiques culturelles des Américains de plus de 18 ans en 2002 40 % ont fait une sortie culturelle dans l'année hors cinéma foire, concert de rock, artisanat 3 % sont allés à l'opéra 12 % sont allés au théâtre hors comédie musicale 11 % sont allés à un concert de jazz 27 % ont fréquenté un musée d'art Bon… on peut zapper et retourner à une investigation plus nuancée et plus balancée de la société américaine, vue du côté du Grand Ouest ? Publié le 28/09/2015 à 1327 Artur Mas et Paul Romeva Junts pel si FIGAROVOX/ANALYSE - Benoît Pellistrandi estime que l'indépendance de la Catalogne, si elle n'a jamais paru si proche, sera très difficile à mettre en place. Elle porterait même préjudice aux Catalans .Benoît Pellistrandi est ancien élève de l'École normale supérieure et agrégé d'histoire. Il est actuellement professeur en classes préparatoires au lycée 27 septembre, les électeurs résidents de Catalogne étaient appelés aux urnes pour renouveler leur parlement régional. Il s'agissait de la dixième élection de ce genre depuis qu'en 1980, la région a commencé de faire fonctionner ses institutions autonomes. Les élections régionales mobilisaient moins que les élections générales pour envoyer des députés à Madrid. De 1980 à 2012, la moyenne de participation s'établissait à 61% contre 71% pour les élections nationales. Mais ce dimanche, le taux de participation a atteint le record de 77,44%.L'enjeu était de taille. Le panorama politique nationaliste avait été recomposé de fond en comble pour fonder une revendication indépendantiste. Du côté des partis “nationaux”, la question était de savoir comment se rééquilibreraient les forces et si les nouveaux venus sur la scène politique - Podemos à gauche, Ciudadanos Citoyens au centre - étaient en mesure de dépasser les deux formations traditionnelles le Parti Socialiste et le Parti résultats semblent sans appel les indépendantistes obtiennent une majorité absolue de sièges 72 contre 63. Ils sont pourtant lourds d'ambiguïtés politiques et porteurs de plus de questions que de réponses. Tout a changé quand Artur Mas a choisi d'embrasser la cause indépendantiste. Il le fit d'abord par tactique il s'agissait de mordre sur l'électorat de ses concurrents et surtout de construire un bras de fer avec Madrid pour négocier en position de force un statut encore plus favorable à l'autonomie. Les ambiguïtés politiques d'abord. La liste arrivée en tête - Junts pel Si - 62 sièges et presque 40% des voix est un conglomérat de forces politiques hétérogènes. La composent principalement les deux formations Convergence Démocratique de Catalogne du président Artur Mas et Gauche Républicaine de Catalogne Esquerra Republicana de Catalunya - ERC - de Oriol Junqueras. Ces deux formations ont été, jusqu'en 2012, “ennemies”. Toutes deux chassaient du côté des nationalistes. Mais là où ERC était radicale, CDC se présentait comme le nationalisme prudent et raisonnable. Tout a changé quand Artur Mas a choisi d'embrasser la cause indépendantiste. Il le fit d'abord par tactique il s'agissait de mordre sur l'électorat de ses concurrents et surtout de construire un bras de fer avec Madrid pour négocier en position de force un statut encore plus favorable à l'autonomie. En 2012, il procéda à une dissolution de son Parlement. De 62 sièges, sa formation tomba à 50… d'où l'impérieuse nécessité de composer avec plus radical que lui ERC avait alors obtenu 23 sièges.C'est là que les choses se sont compliquées et qu'Artur Mas a été pris au piège de sa surenchère. Le nationaliste avait fait de l'indépendance un levier de négociation le voilà obligé d'y croire… ou de feindre d'y croire!Les deux formations disposaient de la majorité absolue dans le Parlement sortant… elles la manquent. Avec 62 sièges, la liste unitaire perd 11 sièges par rapport au total de deux candidatures distinctes en 2012. Est-ce un succès?D'autant que le sésame de la majorité absolue est aux mains d'un parti encore plus radical la Candidature d'Unité Populaire, une gauche radicale qui souhaite proclamer dans les trois mois l'indépendance de la République démocratique et sociale de Catalogne. Son leader, Antonio Baños, a d'ores et déjà appelé ses électeurs à désobéir aux lois un gouvernement catalan en dépit de la concurrence de ces indépendantismes ne sera pas simple d'autant que beaucoup de nationalistes élus hier sont des indépendantistes de la onzième heure… regardés avec suscpicion par les militants aux autres forces politiques, le Parti populaire, actuellement au pouvoir à Madrid, a subi une véritable déroute perdant 8 de ses 19 députés au profit de la formation centriste Ciudadanos qui passe de 10 à 25 sièges! Cela veut clairement dire que la dynamique victorieuse est au centre. Lors des élections générales du 20 décembre prochain - et les Catalans revoteront cette fois-ci pour envoyer des députés à Madrid - le Parti populaire devra faire le deuil de ses élus catalans. Voilà qui n'est pas de bon augure pour ses envies de victoire. Le Parti socialiste a survécu aux ambitions de Podemos… qui démontre là son immaturité politique et organisationnelle. Tout cela esquisse une recomposition favorable au centre-gauche d'ici à est-elle cependant possible? De ces blocages et de ces dialogues de sourds entre institutions espagnoles - ne l'oublions pas la Generalitat de Catalogne, le gouvernement régional, et le Parlement de Catalogne existent par la Constitution et représentent, en Catalogne, la forme de l'État espagnol -, on est arrivé à une situation hautement explosive. La raison politique s'est évaporée sous les puissantes senteurs enivrantes de l'émotion. La société catalane est éduquée avec un discours victimiste qui a réussit à convaincre une très large partie de l'opinion publique que les Catalans sont humiliés et opprimés. Rien n'est plus faux que ces approximations historiques. Là, l'historien ne peut être que révolté devant cette instrumentalisation, quand il ne s'agit pas de mensonge, du passé. Ce “traumatisme” fabriqué constitue aujourd'hui l'élément le plus difficile à réduire pour s'engager dans la voie du dialogue. Il est fait d'une ignorance grave sur le passé national commun aux Catalans et aux Espagnols. Depuis 2012, la Generalitat - gouvernement régional - de Catalogne n'a plus accès aux marchés financiers. Elle se finance par l'intermédiaire de Madrid car la signature de l'État espagnol jouit de la confiance des marchés… pas celle de la Catalogne. Car tout le reste, c'est-à-dire des questions aussi techniques que le transfert des charges financières d'un État à l'autre - par exemple, la future Sécurité sociale catalane prendra-t-elle en charge les retraites des travailleurs qui ont travaillé et cotisé en Catalogne mais qui sont repartis qui en Andalousie, qui en Castille, qui en Estrémadure pour jouir de leur retraite? - sont bien trop complexes pour être mises sur le devant de la scène. La mise en place, ne serait-ce que des conditions d'une négociation pour arriver à un accord d'indépendance, buterait immanquablement sur la technicité de toutes ces questions. Un rappel suffira à le comprendre depuis 2012, la Generalitat de Catalogne n'a plus accès aux marchés financiers. Elle se finance par l'intermédiaire de Madrid car la signature de l'État espagnol jouit de la confiance des marchés… pas celle de la Catalogne. Un État, un embryon d'État catalan, n'aurait pas les moyens financiers de se construire et s'il est facile de faire rêver en mobilisant les sentiments et les symboles, sera-t-il facile de demander aux Catalans plus d'impôts, plus de sacrifices pour construire leur État?Actuellement, le rêve indépendantiste est gratuit. Dès lors qu'il s'accompagnera d'une facture, il virera au cauchemar… en Catalogne et pour les Catalans eux-mêmes. Il y a dix ans, Jesús Rodríguez a fait croire à ses enfants qu'il vendait ses meubles pour aller s'installer à Disney World avec eux. Il avait en fait besoin d'argent après avoir perdu sa maison, comme des millions de familles victimes de la crise aux le salon de l'appartement qu'il loue aujourd'hui à Coral Springs, au nord de Miami en Floride, le père de famille de 57 ans a la gorge nouée à l'évocation de ses déboires immobiliers."Je me souviens que mes enfants étaient très jeunes lorsque nous avons commencé à tout vendre", raconte-t-il. "Ils m'ont dit +Papa, où est-ce qu'on va ?+ Et je leur ai répondu que nous allions à Disney World. Ils m'ont alors demandé si Disney était si cher que nous devions vendre le frigo et les lits". Durant les années qui ont précédé la crise, accéder à la propriété était d'une grande simplicité. Pas besoin de démontrer sa capacité de paiement les banques prêtaient à tout-va et les intermédiaires engrangeaient des millions en revendant de la Rodríguez a émigré aux Etats-Unis en 2005 avec sa famille pour fuir la crise politique frappant son pays, le Venezuela. Il a contracté un emprunt peu de temps après pour acheter un appartement qui lui donnait l'illusion de vivre le "rêve américain", alors qu'il ne gagnait que dollars par mois comme employé d'une imprimerie."Mon voisin était livreur de pizzas et il a obtenu le même prêt", l'avocate Shari Olefson, spécialisée dans les saisies immobilières, la crise a été alimentée par les nombreux prêts hypothécaires à haut risque - les subprimes - accordés par des banques "déterminées à faire beaucoup d'argent". Malgré la hausse inquiétante des prix de l'immobilier et les mises en garde d'économistes, "de nombreux Américains sans expérience dans les biens immobiliers ont cru qu'ils pouvaient devenir investisseurs", pointe l'experte, auteure de plusieurs livres sur le Des dettes impayables -La bulle s'est finalement dégonflée, la valeur des biens s'est effondrée, les intérêts ont augmenté, les dettes ont atteint des niveaux absurdes et les gens ont arrêté de 4% d'intérêts payés par Jesús Rodríguez ont ainsi grimpé à 14% en un an et sa dette est devenue "impayable". Après une deuxième hypothèque, la famille devait en 2008 quelque dollars pour un appartement dont la valeur avait chuté à dollars."Les frais ont commencé à augmenter et, d'un coup, le nombre de défauts d'emprunts a explosé", détaille Mme Olefson. "Alors que davantage de gens faisaient l'objet de saisies, l'offre immobilière grossissait sur le marché et cela a commencé à faire baisser les prix. Et la panique s'est installée".Plus de la moitié des foyers de Floride étaient crise des "subprimes", qui a démarré en 2006 avant d'atteindre son paroxysme deux ans plus tard, a provoqué la chute de banques et d'institutions répercussions spectaculaires partout dans le monde ont donné naissance à la pire dépression économique depuis les années un rapport de 2009 de RealtyTrac, une société spécialisée dans les données immobilières, l'année 2008 a vu un nombre record de "dossiers de saisie".Quelque 3,1 millions d'entre eux ont ainsi été ouverts en 2008 aux Etats-Unis, soit 81% de plus que l'année précédente et 225% de plus qu'en les Etats les plus touchés le Nevada, l'Arizona et la Floride, où 4,5% des biens immobiliers étaient alors concernés par un dossier de Et maintenant ? -Ironie du sort, Jesús Rodríguez travaille aujourd'hui comme conseiller financier pour une compagnie d'assurances. "J'aide désormais les gens à ne pas tomber comme j'ai pu le faire, à ne pas s'endetter autant", confie-t-il. "Je leur apprends à s'occuper de leur indépendance financière, de leur épargne, de leur fonds de pension et de ce genre de choses. C'est comme un renvoi d'ascenseur".Les experts estiment que le système financier a tiré les leçons de ses erreurs et qu'il est peu probable de voir se produire à nouveau une crise hypothécaire du même genre, notamment parce qu'il est plus difficile d'accéder à un emprunt. © 2018 AFP Avez-vous déjà entendu parler du rêve américain et de l’expression vivre le rêve » ? Elle est utilisée lorsqu’une personne vit ce qui n’est encore qu’un rêve pour les autres. Le rêve » est un style de vie idéal. Il est généralement relié à la richesse, aux loisirs et à une vie sans soucis. En général, cela inclut une belle maison, une voiture de sport rapide, un yacht et une belle femme. Le scénario est le suivant aller à l’école, trouver un travail, travailler très dur, acheter une belle maison, une belle voiture, trouver la femme parfaite ou un mari riche, travailler encore et encore, voyager dans le monde, élever des enfants intelligents, peut-être avec des nounous et des écoles privées, et ensuite leur léguer une fortune. Pour beaucoup, vivre le rêve devient une compétition dont le succès ne tient qu’à la comparaison entre ce que nous avons, ce que nous pouvons nous offrir et ce que les autres autour de nous possèdent. Wikipédia décrit le rêve américain comme la philosophie nationale des États-Unis, un ensemble d’idéaux dans lesquels la liberté inclut la possibilité de prospérer, de réussir, une mobilité sociale ascendante réalisée grâce à un travail acharné, indépendamment de la classe sociale ou des conditions de naissance. » Beaucoup approuveraient cette description. Mais, la réalité apparente n’est pas toujours aussi merveilleuse qu’on pourrait le croire. Certaines personnes utilisent le terme vivre le rêve » de manière ironique — souvent en réponse à la question rhétorique, tout va bien pour vous ? » Quand il est évident que la personne en question a un travail pénible, une vieille voiture rouillée et est tout aussi fauchée que les autres, la réponse donnée est généralement Eh bien, je vis le rêve ! » Vivre le rêve, ou un cauchemar ? Donc, la majorité de la population mondiale vit-t-elle le rêve » ? Les chrétiens en Irak, en Égypte et en Syrie vivent-ils le rêve lorsqu’ils sont persécutés et attaqués sans relâche ? Les sans-abri sous les ponts d’autoroute vivent-ils le rêve ? Qu’en est-il du citoyen moyen de votre ville qui lutte pour gagner sa vie et subvenir aux besoins de sa famille ? Qu’en est-il de ceux qui vivent dans des pays déchirés par la guerre et les conflits ? Qu’en est-il des Nord-Coréens qui meurent de faim alors que leur chef construit des ogives nucléaires et des missiles ? Tout au long de l’Histoire, qu’en est-il des tentatives dans le but de construire l’utopie sur terre, qui, d’ailleurs, furent toujours des échecs misérables ? Jusqu’à présent, comment l’humanité réussit-elle à vivre le rêve » ? Vivre le rêve exige des dirigeants qu’ils aient une attitude de service, non seulement les fidèles énumérés dans les Écritures, mais aussi tous ceux qui auront vaincu et enduré jusqu’à la fin. C’est une bien triste déclaration, mais la grande majorité de l’humanité choisit encore et encore de manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal » mentionné dans le livre de la Genèse. Les hommes décident de choisir pour eux-mêmes ce qui est bien et ce qui est mal, selon ce qu’ils jugent être le meilleur choix, dans leur propre intérêt. Regardez autour de vous. Notre monde reflète aujourd’hui ce choix à travers ses multiples religions contradictoires, la famine, les plaies, la violence, la guerre, les conflits, les cœurs et les esprits brisés. Pour beaucoup trop de gens, leurs rêves ont cédé la place à des cauchemars bien réels ! Mais ce n’est pas le destin ultime de l’humanité. Examinons comment un type d’utopie, dont tout le monde bénéficiera réellement, sera établi et prolongé sur notre planète, et à quoi elle ressemblera ! L’horloge de la fin du monde Il y a 2 000 ans, les disciples de Jésus savaient déjà que le monde allait empirer pour finalement atteindre un point où le mal et l’égoïsme iraient crescendo vers un apogée final. Jésus leur dit qu’Il reviendrait pour instaurer un nouvel âge de paix. Ils lui demandèrent alors Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » Matthieu 243 La réponse de Jésus fut globale dans sa portée, mais une phrase attira leur attention Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais. Et, si ces jours n'étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. Matthieu 2421-22 C’est le scénario de Jésus-Christ pour la fin du monde. C’est un fait, sans Son intervention le monde se détruirait. Même les incroyants s’accordent à dire que la possibilité d’un anéantissement mondial existe. L’horloge de la fin du monde est un cadran symbolique bien connu, qui représente un compte à rebours annonçant une éventuelle catastrophe mondiale. Le symbole, avec ses mains mobiles, fut maintenu depuis 1947 par les membres du Bulletin of the Atomic Scientists. Plus les scientifiques rapprochent les aiguilles de minuit, plus ils ont la certitude que le monde est au bord du désastre. En 1947, date de sa création pendant la Guerre froide, l’horloge indiquait sept minutes avant minuit. Elle fut ensuite avancée ou retardée en fonction de l’état du monde et des perspectives de guerre nucléaire. En 2012, les aiguilles de l’horloge furent avancées de six à cinq minutes avant minuit en raison de plusieurs facteurs — des négociations bloquées en faveur de la réduction des arsenaux nucléaires aux États-Unis et en Russie ; l’expansion et la modernisation des stocks nucléaires en Chine, au Pakistan et en Inde ; l’insécurité insuffisante des matières nucléaires dans le monde ; et la poursuite des constructions de centrales nucléaires sans dispositif de sécurité à toute épreuve. Puis, en 2015, les aiguilles de l’horloge furent, de façon inquiétante, avancées pour indiquer trois minutes avant minuit. Au début de l’année 2017, l’heure fut avancée d’une demi-minute alors que le Conseil des scientifiques annonçait ceci La probabilité d’une catastrophe mondiale est très élevée, et les actions nécessaires pour en réduire les risques doivent être prises très bientôt. » Ils avertissaient l’humanité que son futur était en jeu ! Jésus-Christ avait décrit l’époque de Son retour comme étant celle d’une possible extinction humaine. Mais Il a promis qu’Il ne laisserait pas cela se produire ! Le monde sera en effet, le témoin d’une catastrophe mondiale massive. Mais la bonne nouvelle est qu’avant que nous nous détruisions, le cours de l’Histoire changera radicalement. Debout sur le Mont des Oliviers Quand vous priez pour que le Royaume de Dieu vienne comme nous avons reçu l’ordre de le faire dans Matthieu 610, pouvez-vous imaginer Jésus-Christ debout sur le Mont des Oliviers à Jérusalem ? J’essaie de visualiser le passage de Zacharie 144 où Il nous est dit que Ses pieds se poseront en ce jour [la fin des temps] sur la montagne des Oliviers. » Mais il ne s’agit pas seulement d’une prophétie de l’Ancien Testament. Le Nouveau Testament nous dit la même chose dans le récit de Jésus-Christ montant au ciel Et comme ils [les disciples] avaient les regards fixés vers le ciel pendant qu’il s’en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent, et dirent Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu allant au ciel. Alors ils retournèrent à Jérusalem, de la montagne appelée des Oliviers, qui est près de Jérusalem, à la distance d’un chemin de sabbat. » Actes 110-12 Ces versets nous disent que Jésus-Christ reviendra littéralement sur cette terre — à l’endroit le plus mondialement contesté et connu aujourd’hui sous le nom de Jérusalem ! De la même façon que les disciples virent le Christ ressuscité monter dans les nuages au-dessus du Mont des Oliviers, du côté est de la ville, de la même manière, Il reviendra, traversera les nuages et Ses pieds se poseront sur cette même montagne, mais cette fois, avec puissance et grande gloire. Ce sera la plus grande nouvelle de toute l’histoire de l’humanité ! À l’époque de la fin des temps, la prophétie biblique détaille la grande détresse, ou grande tribulation, qui enveloppera la terre. Les guerres, les catastrophes, les famines et les épidémies ravageront la population avant que Jésus ne descende finalement sur le Mont des Oliviers pour sauver l’humanité de l’extinction ! Enfin, un nouveau jour se lèvera — un jour plein de promesses de paix et de plénitudes, de joies et d’objectifs à accomplir, de bonheur et de réussites. Les cauchemars de l’Histoire disparaîtront et les rêves de l’humanité commenceront à se réaliser. Et, cela commencera avec Jésus-Christ se tenant debout sur le Mont des Oliviers. C’est un grand pas vers l’humanité afin qu’elle puisse, enfin, vivre le rêve — un vrai rêve orienté de façon juste ! Vivre un rêve Une célèbre citation attribuée au Bouddha dit Ne regrettez pas le passé, ne spéculez pas sur l’avenir. Vivez pleinement le présent. » Mais c’est un objectif religieux à très court terme dans la vie, il suffit de vivre le moment présent ! Non, le Créateur de l’univers a tellement plus à nous offrir si nous Lui obéissons. Walt Disney disait Vous pouvez concevoir, créer et construire l’endroit le plus merveilleux au monde. Mais il faut des gens pour faire de ce rêve une réalité. » Nous pourrions ajouter qu’il faut Dieu pour faire de ce rêve une réalité. Il faut Dieu pour transformer le monde. Il faut Dieu pour vivre le rêve de l’éternité. Jésus-Christ promit de revenir et de ne pas simplement nettoyer la corruption des royaumes terrestres actuels, mais de remplacer complètement toutes les puissances de ce monde par un gouvernement nouveau et parfait — un gouvernement vraiment au service des êtres humains — et d’une humanité amenée à vivre réellement le rêve selon le dessein de Dieu. Il s’agit là bien plus qu’un simple lendemain » d’élection ou de coup d’État, mais d’une immixtion hors du commun » complète, stupéfiante, du Royaume des cieux — qui sera ensuite amené sur terre et imposé à une population désespérée ayant besoin d’être soulagée de sa propre nature humaine corrompue. En d’autres termes, l’homme sera sauvé de lui-même, par nul autre que le Créateur même de l’humanité ! C’est ce dont nous rêvons finalement ! C’est pour cela que nous prions. C’est ce que nous attendons. C’est ce que nous imaginons — Christ descendant sur le Mont des Oliviers avec Ses disciples ressuscités, Ses saints fidèles, qui auront été enlevés pour Le rencontrer voir 1 Thessaloniciens 416-17. La terre entière sera régénérée et restaurée après que le Père aura envoyé Jésus à nouveau afin que des temps de rafraîchissement viennent de la part du Seigneur, et qu’il envoie celui qui vous a été destiné, Jésus-Christ, que le ciel doit recevoir jusqu’aux temps du rétablissement de toutes choses, dont Dieu a parlé anciennement par la bouche de ses saints prophètes d’autrefois. » Actes 320-21. Alors que Jésus-Christ posera Ses pieds sur le Mont des Oliviers, nous verrons le début d’une époque de rafraîchissement, de restauration que l’apôtre Pierre et tous les saints prophètes avaient proclamée. Il s’agira vraiment de vivre le rêve » ! Il ne s’agira pas de la restauration d’un quelconque âge d’or idyllique de règne humain, mais de la restauration du gouvernement parfait de Dieu qui avait été égaré et rejeté dans le jardin d’Éden par les premiers êtres humains. Vivre ce rêve exige des leaders semblables à Christ Dans les gouvernements humains, même les meilleurs des leaders se heurtent trop souvent aux formalités administratives, aux bureaucraties corrompues et aux problèmes humainement insolubles. Malheureusement, ils sont trop nombreux à tomber dans le piège de la corruption et du scandale. La corruption politique est endémique dans notre monde. Les officiels gouvernementaux utilisent leur pouvoir en vue d’un gain illégitime. Les formes de corruption varient et prennent la forme de concussion, d’extorsion, de copinage, de népotisme, de favoritisme, de clientélisme et de détournement de fonds. La corruption peut faciliter l’entreprise criminelle tel que le trafic de drogue, le blanchiment d’argent et le trafic d’êtres humains. Mais aujourd’hui, Dieu travaille avec certaines personnes pour former en elles Son propre caractère afin qu’elles puissent lors du retour du Christ devenir incorruptibles à tous égards. Celles qui furent fidèles, certaines furent même tuées en martyrs, seront changées ou ressuscitées incorruptibles », et auront un pouvoir divin et l’immortalité à ce moment-là. Elles seront les nouveaux dirigeants et les enseignants de Christ sur la terre. 1 Corinthiens 15 nous parle de cette résurrection à la vie éternelle qui sera extraordinaire. Ces saints de Dieu ressuscités aideront alors le Christ à servir avec miséricorde, de façon équitable, et efficace ceux qui auront survécu aux catastrophes de la fin de cet âge gouverné par les hommes sous l’influence de Satan. Soutenus par la puissance et l’amour du Créateur, les serviteurs de Dieu auront les qualités de Christ pour diriger et seront capables de nettoyer la corruption et de trancher les nœuds gordiens qui ont maintenu l’humanité dans un carcan. Vivre le rêve exige des dirigeants qu’ils aient une attitude de service, non seulement les fidèles énumérés dans les Écritures, mais aussi tous ceux qui auront vaincu et enduré jusqu’à la fin. Les écoles militaires seront fermées À New York, à l’extérieur des bâtiments des Nations Unies, il y a une sculpture célèbre offerte par l’Union soviétique représentant un homme entrain de forger une épée pour la transformer en soc. Cette statue immortalise le désir de l’humanité pour la paix — et fait allusion à la façon dont cette paix arrivera. Ce qui a inspiré la création de cette statue — le véritable espoir de désarmement, de paix et d’une vie dont l’humanité ne peut que rêver — provient d’une belle prophétie d’Ésaïe 2 réitérée dans Michée 4. Notez la version de Michée Il arrivera, dans la suite des temps, que la montagne de la maison de l’Éternel [le gouvernement de Dieu] sera fondée sur le sommet des montagnes [d’autres gouvernements], qu’elle s’élèvera par-dessus les collines, et que les peuples y afflueront. Des nations s’y rendront en foule, et diront Venez, et montons à la montagne de l’Éternel, à la maison du Dieu de Jacob, afin qu’il nous enseigne ses voies, et que nous marchions dans ses sentiers. Car de Sion sortira la loi, et de Jérusalem la parole de l’Éternel. Il sera le juge d’un grand nombre de peuples, l’arbitre de nations puissantes, lointaines. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, et de leurs lances des serpes ; une nation ne tirera pas plus l’épée contre une autre, et l’on n’apprendra plus la guerre. Ils habiteront chacun sous sa vigne et sous son figuier, et il n’y aura personne pour les troubler. » Michée 41-4 Quelle vision merveilleuse ! Enfin, les différends entre nations seront résolus sans recourir aux horreurs de la guerre. Enfin, les nations seront obligées de déposer les armes, mais elles se rendront vite compte qu’elles n’ont rien à craindre, puisque leurs voisins seront tous désarmés. Les écoles de guerre seront fermées et les forces militaires dissoutes. Il n’y aura plus de médailles de bravoure pour les soldats qui font preuve de courage sur le champ de bataille, même en y perdant leur propre vie. Au lieu d’utiliser les meilleurs cerveaux et les plus grandes ressources pour le développement d’armes de destruction massive, les nations pourront investir ces sommes pour améliorer la vie de tous leurs citoyens ! Aujourd’hui, certaines nations parmi les plus pauvres du monde importent des quantités démesurées d’armes. Finies ces courses à l’armement inutiles, les quartiers dangereux aujourd’hui — comme au Moyen-Orient, où arrivent 40 % des exportations d’armes — seront enfin pacifiés. A partir du nouveau gouvernement mondial du Christ, la paix se répandra par l’éducation selon Ses voies » ainsi que par le chemin de la paix qu’ils ne connaissent pas. Ésaïe 598 Paul décrivit certains des éléments de cette voie de paix dans sa lettre aux Romains Ayez les mêmes sentiments les uns envers les autres. N’aspirez pas à ce qui est élevé, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble. Ne soyez point sages à vos propres yeux. Ne rendez à personne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes. S’il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère ; car il est écrit À moi la vengeance, à moi la rétribution, dit le Seigneur. Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger; s’il a soif, donne-lui à boire... » Romains 1216-20 Voyez-vous, le chemin de la paix est une attitude ! Beaucoup d’autres passages bibliques détaillent l’attitude et l’approche d’un pacificateur. Où en êtes-vous par rapport à ce qualificatif performant ? Vous préparez-vous à devenir un artisan de la paix dans votre vie éternelle en exerçant cet aspect du caractère de Dieu dans votre vie actuelle ? Symboliquement, dans votre vie, transformez-vous vos glaives » en hoyaux » ? Reconstruire et renouveler le rêve Après les guerres les plus dévastatrices de l’histoire humaine qui précèderont et seront le point culminant du retour de Jésus, il y aura une quantité incroyable de nettoyage et de reconstruction à faire. Mais cette fois, la reconstruction se fera de manière permanente, sensée et durable. Les villes seront propres et sûres. Les villages seront beaux et les terres agricoles productives. Représentez-vous ces scènes d’après les paroles du prophète Amos au sujet de l’ère à venir Voici, les jours viennent, dit l’Éternel, où le laboureur suivra de près le moissonneur, et celui qui foule le raisin, celui qui répand la semence, où le moût ruissellera des montagnes et coulera de toutes les collines. Je ramènerai les captifs de mon peuple d’Israël ; ils rebâtiront les villes dévastées et les habiteront, ils planteront des vignes et en boiront le vin, ils établiront des jardins et en mangeront les fruits. » Amos 913-14 Même Jérusalem, lieu le plus convoité de l’Histoire, vivra enfin selon le sens de son nom, une ville de paix et de sécurité Des vieillards et des femmes âgées s’assiéront encore dans les rues de Jérusalem, chacun le bâton à la main, à cause du grand nombre de leurs jours. Les rues de la ville seront remplies de jeunes garçons et de jeunes filles, jouant dans les rues. » Zacharie 84-5 Ce monde sans guerre sera incroyablement meilleur que le monde d’aujourd’hui. Mais ce ne sera pas simplement une absence de guerre. Le monde entier connaîtra la vraie paix, celle qui résulte de la voie de Dieu. Ce sera fantastique, au-delà de ce que l’Homme peut imaginer ! Dieu promet le retour d’un monde de paix et de prospérité ! C’est ce que l’humanité a toujours voulu, mais n’a jamais pu réaliser. Un Jarvik 7 spirituel Pourquoi n’avons-nous pas encore trouvé la paix sur la terre ? La science et la technologie ne l’ont pas apportée. Toutes les expériences des divers systèmes gouvernementaux et économiques, au cours des siècles, ne nous ont pas rapprochés de la paix mais plutôt de la destruction. Le fait est que la voie de Dieu n’a jamais été vraiment expérimentée dans ce monde. Mais pourquoi pas ? De quoi avons-nous besoin ? Avez-vous déjà entendu parler du Jarvik 7 ? C'était le premier cœur artificiel à avoir été implanté avec succès en 1982. Il porte le nom de l’équipe de Robert Jarvik qui l’a conçu. Cet appareil, implanté au patient Barney Clark, attira l’attention des médias du monde entier. Si vous regardez une photo, vous seriez surpris de voir à quel point il semble primitif ! Mais, étonnamment, il fonctionna et était assez petit pour s’adapter à la cavité thoracique de Barney. La version actuelle de l’appareil est le cœur artificiel SynCardia CardioWest conçu pour un remplacement cardiaque permanent, mais seulement approuvé comme pont en vue d’une transplantation cardiaque. Il fut implanté à plus de 800 personnes. Mais quel est le rapport avec le fait de ne pas encore trouver la paix sur terre ? Le problème réside dans le cœur humain, spirituellement parlant. Comme le dit Jérémie 179 Le cœur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant. » Tous les peuples ont besoin de recevoir un nouveau cœur — une transplantation de cœur spirituelle, pour ainsi dire ! C’est ce qui se produira. Dieu le dit Je vous donnerai un cœur nouveau, et je mettrai en vous un esprit nouveau ; j’ôterai de votre corps le cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. » Ézéchiel 3626. C’est une image figurative de Dieu remplaçant des cœurs durs et tenaces par des cœurs adoucis et contrits — une nouvelle attitude désireuse et disposée à Le suivre et à Lui obéir humblement. Plus loin, il nous est dit aussi Mais voici l’alliance que je ferai avec la maison d’Israël, après ces jours-là [dans l’ère à venir], dit le Seigneur Je mettrai mes lois dans leur esprit, je les écrirai dans leur cœur ; et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. » Hébreux 810, citant Jérémie 3133 Cette promesse d’un cœur nouveau ne s’adresse pas seulement aux descendants de Jacob ou d’Israël, mais à toutes les nations ! Selon ce que dit l’Écriture Quiconque croit en lui ne sera point confus. Il n’y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu’ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent. » Romains 1011-12 citant Ésaïe 2816 Dans Son plan parfait de salut, Dieu a fait en sorte qu’il nous soit possible d’avoir un cœur nouveau — d’être capable de vivre Sa voie d’amour, d’obéir à Ses lois, rempli de Son Esprit Saint par lequel Son caractère d’amour est versé dans nos cœurs Romains 55. Ce ne sera pas un cœur mécanique Jarvik 7, mais un cœur qui pourra être guidé et conduit par l’Esprit de Dieu. Vivre le rêve nécessite un changement de cœur, une transplantation cardiaque spirituelle. À l’aide de l’Esprit de Dieu, ce processus requiert la repentance ou l’abandon d’une vie de péché — non seulement se rendre compte du besoin de pardon et de conversion, mais aussi rechercher activement et humblement la miséricorde de Dieu et se dédier pleinement à une vie de changement. Cela inclut la foi en Dieu et l’acceptation du sacrifice du Christ pour payer la pénalité de nos propres péchés et de ceux du monde entier. Le rêve devient réalité Les neuf aspects des fruits de l’Esprit de Dieu énumérés dans Galates 5 sont des blocs de construction en vue d’édifier en nous le cœur et l’Esprit de Dieu. Imaginez un monde où tous ces fruits grandiraient et se répandraient partout Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, la maîtrise de soi ; la loi n’est pas contre ces choses. » Galates 522-23 Imaginez avoir de tels voisins ! Imaginez avoir de tels collègues, superviseurs, enseignants et employés du gouvernement qui traiteraient les gens toujours ainsi — à la manière de Dieu ! Quel monde merveilleux ce sera ! Quel avenir incroyable est devant nous ! Jésus-Christ revient pour instituer le Royaume de Dieu et conduire le monde de cette manière-là. Chacun a le choix le choix entre la vie et la mort, le bien et le mal, entre le Royaume de Dieu et celui de Satan. À l’heure actuelle, l’humanité a choisi la voie de Satan — symbolisée par l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Mais bientôt un nouveau Royaume sera là. Il ne sera pas gouverné par le chaos et l’égoïsme, mais par un Roi qui aime la paix et qui régnera avec amour au service de toute l’humanité. Les guerres cesseront car les nations se rassembleront en famille pour adorer Dieu en esprit et en vérité. Toutes les maladies seront guéries et les rues seront remplies de joie et de rires. La vie qui ne peut être qu’un rêve pour beaucoup aujourd’hui, sera bien réelle. Les fils et les filles de Dieu participeront à sa réalisation — ils aideront l’humanité à faire les changements universels nécessaires pour véritablement vivre le rêve ! Kilkare, construite en 1879, sur la plage de Wainscott, une des plus spectaculaires de l'East End. © Kasia Wandycz 23/08/2013 à 1653, Mis à jour le 23/08/2013 à 1706 Loin de la rigueur, la fête continue. Cet été, Match se rend sur des plages de rêve où l'on s'amuse. Troisième étape aux Etats-Unis. Le Cessna rouge se pose dans une baie de Shelter Island, une île à l’ouest des Hamptons. L’hôtelier multimillionnaire André Balazs utilise cet hydravion pour la clientèle huppée du Sunset Beach, la guinguette branchée qu’il a ouverte il y a une quinzaine d’années. Et aussi, parfois, pour lui-même. Le vol depuis Manhattan prend trois quarts d’heure. En voiture, c’est deux heures et demie. En le voyant sortir de l’appareil, on dirait un Gatsby des temps modernes. Belle gueule, tombeur de femmes, roi de New York et de Los Angeles, où il possède une myriade d’hôtels et restaurants prestigieux The Standard, Chateau Marmont, etc.. En cette soirée du vendredi 9 août, il vient passer un week-end en famille. Accompagné de Chelsea Handler, actrice célèbre aux Etats-Unis pour son talk-show télévisé, il monte à bord d’une Aston Martin noire. Direction le salon de Marie Eiffel, une Française qui possède plusieurs boutiques de mode et de décoration sur l’île. L'hydravion de la StndAIR, en provenance de New York, vient de déposer dans la baie son passager, le millionnaire André Balazs. © Kasia Wandycz Avec Katie Ford, ex-femme d’André et ancienne propriétaire de l’agence de top models Ford, Marie organise une vente aux enchères au profit de la lutte contre la traite des êtres humains. André arrive en retard, serre de nombreuses mains amies, dépense une petite dizaine de milliers de dollars – un pourboire pour lui – puis file au Ram’s Head Inn, un hôtel sur les hauteurs de l’île où sa mère de 92 ans joue du piano. J’adore Shelter Island, nous confie-t-il. J’y ai acheté une maison pour faire du ski nautique. A côté, une cabane pour pêcheurs de pétoncles était à vendre. J’en ai fait un restaurant, le Sunset Beach, où les milliardaires peuvent venir déjeuner pieds nus et se sentir chez eux...» La suite après cette publicité Début de soirée paisible sur la plage du Surf Lodge, à Montauk. Kasia Wandycz Bienvenue dans les Hamptons, lieu de villégiature préféré des riches New- Yorkais, surtout ceux du très chic Upper East Side, où résident vieilles fortunes et jeunes loups de Wall Street. L’endroit est grandiose dunes à perte de vue, villages de la fin du XIXe siècle, température idéale pour la baignade dans l’Atlantique... Pour y accéder, le trajet en train est long ; les routes, étroites et malcommodes. Mais c’est voulu. Aux Hamptons, on vit entre soi. Les plages sont vides au mois d’août. Pour s’y rendre en voiture, il faut avoir un permis de résident, délivré aux seuls propriétaires ou locataires d’une villa dans le coin. Les Hamptons se méritent», résume Lawrence Kaplan, président du cabinet de consultants Ellipse Media Advisory. New-yorkais, il passe ses étés ici depuis son enfance. La suite après cette publicité A l'origine, les Hamptons étaient un immense champ de patatesA l’origine, le secteur était un immense champ de patates. La famille de Ceci Babinski s’y est installée voilà trois cents ans, en débarquant de Pologne. Aujourd’hui, elle cultive toujours fruits et légumes. Mais dans son farm stand» situé tout près de la vaste demeure à colonnades d’Aerin Lauder, l’héritière d’Estée, fondatrice de la marque de cosmétiques, Ceci ne ressemble pas vraiment à une fermière. Elle est maquillée comme si elle sortait d’un studio de télévision. Bien entendu, tout est bio dans son étalage. Derrière elle, on aperçoit une grosse bicoque appartenant à sa famille. Elle est recouverte de shingles», des lattes de cèdre grisonnantes typiques de la région, et vaut une fortune. Quand nos enfants hériteront de nos terres, explique Ceci, les droits de succession s’élèveront à 7 millions de dollars. Les voisins et la municipalité se sont déjà cotisés pour nous aider à en payer une partie, afin de préserver l’aspect agricole et bucolique de l’endroit. Sans cela, nous devrions vendre.» Promenade en paddle sur un lac d'East Hampton. © Kasia Wandycz Nichés à l’extrémité d’une péninsule au nord-est de New York, les Hamptons ont été découverts au début du siècle dernier par les grandes familles Wasp Blancs anglo-saxons protestants de Manhattan, qui ont construit d’imposantes demeures patriciennes au bord de l’océan, près de Southampton, la township» capitale du coin. Sur Gin Lane, le Wooldon Manor manoir de Wooldon fut acheté et rénové en 1928 par James Donahue et son épouse, Jessie Woolworth héritière des grands magasins du même nom avant d’être cédé à Edmund Lynch, un des fondateurs de la banque Merrill Lynch. De style Tudor, doté d’un salon mansardé avec 8 mètres de hauteur sous plafond, il est entouré d’un parc boisé, d’une serre et d’une piscine avec pool house». Ses propriétaires actuels, Louise et Vince Camuto, viennent de le mettre en vente. Prix demandé 48 millions de dollars. Dans les Hamptons, la récession est presque un lointain souvenir. On est toujours le dernier marché à subir la crise et le premier à bénéficier de la reprise», se réjouit Tim Davis, l’agent immobilier chargé de l’opération. Il y a quelques semaines, Richard Gere a décidé de vendre sa villa de North Haven pour 65 millions de dollars. Il venait d’en achever les travaux mais, confie un proche, s’est subitement rendu compte qu’il n’aurait pas le temps d’y mettre les pieds». La suite après cette publicité La suite après cette publicité Le Dock, un pub traditionnel près du marché aux poissons de Montauk. © Kasia Wandycz Depuis toujours, les Hamptons ont attiré les artistes, grâce à la lumière, magnifique. Au début des années 1970, le peintre Roy Lichtenstein s’est installé à Southampton avec sa femme, Dorothy, dans une maison qui servait autrefois de garage à une immense propriété en bord d’océan. Il l’a agrandie, transformée en résidence principale. Dans le jardin, il a construit son atelier. Dorothy l’a préservé intact depuis sa mort, en 1997. Les pots de peinture n’ont pas bougé. Les canapés sont juste un peu fatigués à cause des chiens», sourit-elle. Dorothy, la veuve de Roy Lichtenstein, dans l'atelier du peintre conservé en l'état. © Kasia Wandycz Les Hamptons ont commencé à changer de nature dans les années 1980, avec l’arrivée des traders de Wall Street. De simple lieu de vacances, ils sont devenus une extension de Manhattan, avec son cortège de soirées privées et de fêtes en tout genre. Fin juillet, il ne fallait rater sous aucun prétexte le gala annuel du musée Watermill Center, donné par Robert Wilson. Cet artiste avant-gardiste avait exposé ses oeuvres dans le bosquet attenant au musée hommes et femmes nus, tatoués, prenant des postures langoureuses autour de troncs d’arbres. Entourée de trois bodyguards à oreillette et d’une nuée de photographes, Lady Gaga, en longue robe noire et sans maquillage, écoutait les explications du maître des lieux, qui a travaillé avec elle sur le clip de son nouveau tube Applause». Le 3 août, c’est à la Southampton Hospital Summer Party qu’il fallait se montrer. Jean Shafiroff, présidente du gala, était drapée dans une incroyable robe bouffante en taffetas turquoise. Cette tenue est une toquade, mais je suis une fashionista», s’excusait-elle. Mariée à un richissime banquier de Wall Street, Jean est une socialite» en vue. Une "social climber" [arriviste] qui organise sa vie mondaine de manière très professionnelle», glisse perfidement une de ses l'arrivée des traders, l'afflux de dollars a tout changéPlus intimiste, mais non moins prisé, le fashion show» pour fillettes, organisé par Ralph Lauren dans une étable de Sagaponack, était tout aussi spectaculaire. Il fallait voir les gamines de 10 ans défiler sous les yeux humides de leurs mères, puis se faire vernir les ongles par des manucures de la maison Essie en écoutant une chanteuse ado interpréter I Want To Be a Millionaire» avant de repartir en Rolls-Royce décapotable, les bras chargés de cadeaux à l’effigie du couturier...Pareil étalage d’argent fait le bonheur des commerçants locaux. Pierre Weber, propriétaire du restaurant Pierre’s à Bridgehampton, reconnaît qu’il a une superbe clientèle». Début août, il a vu passer chez lui Alec Baldwin, Liza Minnelli et le financier Olivier Sarkozy demi-frère de Nicolas, entre autres personnalités. Les Hamptons sont un des derniers endroits aux Etats-Unis où être français est un atout. Pierre joue la carte à fond il se balade en ville dans sa 2 CV camionnette pétaradante et fumante, et tout le monde trouve ça so cute»... La terrasse du Surf Lodge, le restaurant branché fréquenté par Naomi Watts ou Bill Murray. © Kasia Wandycz Mais cet afflux de dollars ne plaît pas à tout le monde, notamment à Montauk, le lieu à la mode. Dominé par un phare semblant tout droit sorti d’une côte bretonne, ce bourg se trouve tout au bout de la péninsule, à une heure de Southampton. Là, pas de belles demeures en bois du XIXe siècle. Montauk est un village d’ivrognes qui a des problèmes avec la pêche», rigole-t-on dans les environs victimes de la raréfaction des poissons, ses habitants n’ont plus rien à faire, alors ils boivent... Pendant longtemps, Montauk était prisé par les surfeurs, comme Tony Caramanico, moustachu buriné, qui s’y est installé au début des années 1970 avant de devenir l’homme à tout faire du photographe Peter Beard. Celui-ci vivait alors dans une villa de rêve où il invitait Mick Jagger, Truman Capote, Andy Warhol, Jackie Onassis et des dizaines d’autres amis célèbres. Devenu artiste, Tony a exposé ses oeuvres à la galerie Outeast, début août. Tout a changé ici», constate-t-il, 2007, Nil Erbil, une designer turque, a jeté son dévolu sur un restaurant ringard de la ville, mais qui, au bord de l’eau, jouit d’une vue imprenable sur les couchers de soleil. Elle l’a relooké, et le Surf Lodge est désormais une adresse en vogue où Naomi Watts et Bill Murray ont leurs habitudes. Au début, tout le monde nous détestait», sourit Nil. Deux ans plus tard, Sean MacPherson, hôtelier de New York Maritime, Bowery, Jane spécialisé dans la clientèle hype, ouvrait son propre hôtel-restaurant, le Crow’s Nest. La première chose que j’ai faite, c’est accrocher un drapeau blanc à l’entrée du parking.» Pas sûr que cette blague suffise à calmer la colère des autochtones contre les "maîtres de l’univers" qui débarquent de Wall Street...

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